MIKI BANGS

Plus de 1 an après la sortie de la galette de Pirates “Je t’aime mon amour la vie est belle”, et leur dernier passage au Québec et en Ontario en tournée sur la route des Festivals Francophones, les Bordelais de BENGALE ont pris un peu de recul. Scrutant l’horizon et ses paysages, que ce soit politique ou superficiel, les deux membres fondateurs ont pris un break pour se ressourcer et explorer de nouvelles expériences. MIKI BANGS, a sorti “Polyamour” un EP solo rafraichissant, des plus funky, hip hop et electro. Un chose est sûr, les boys préparent leur retour sur les ondes et scènes québécoises avec du nouveau stock pour 2019.

BENGALE

En 2013, BENGALE fait son entrée au sein de la nouvelle scène française avec la sortie de leur premier EP intitulé « Dernier tramway », de la ballade électronique « Playground ». Le vinyle est épuisé dès sa sortie lors du Disquaire Day et la qualité des titres amènera rapidement de beaux articles sur Nova, France Inter, Le Mouv’, France 4, Les Inrockuptibles, Tsugi, ou Libération. Fort de ce succès le groupe sillonne pendant deux ans la route des festivals (Garorock, Francofolies) et les salles de concerts en France et à l’étranger (Rock School Barbey à Bordeaux, La Maroquinerie à Paris, Le Cargo à Caen, La Coopérative de Mai à Clermont Ferrand, Le Rocher de Palmer à Cenon, mais aussi Montréal et Québec). Ils se produisent également en première partie de Christine and the Queens, La Femme, Brigitte, et plus récemment Cerrone.

Ce duo de compositeurs/producteurs Bordelais a de la pop une vision pure, un brin chill, parfois teintée de rap et d’électronique capable de petits tours classiques comme d’étonnantes virées discoïdes. C’est cette imagination qui leur permet en deux ans de composer une quinzaine de remixes/reworks, notamment pour Lana Del Rey, Disiz, Oxmo Puccino, Sebastien Tellier ainsi que deux reprises : les titres « loser » de Beck et « Je danse le MIA » du groupe IAM.

Après deux ans de galères (2014 et 2015), liées à des problèmes de maisons de disques, les deux garçons décident de créer leur propre label « Volumes Records » dans le but de sortir leur premier album.

Le 10 juin 2016, est donc sorti « JETAIMEMONAMOURLAVIEESTBELLE », un opus de 13 titres aux multiples facettes et influences musicales avec des thématiques diverses, marquées par leur époque, leur engagement et leur sensibilité en faveur de l’environnement, de l’interdépendance du vivant (colibris – Sea Sherperd – Surfrider Foundation) et du respect des genres.